Allongée sur son flanc, venant grignoter des raisins avec une sensualité propre à elle, la jeune femme écrivit une seconde missive pour l'université. Elle avait apprit que les artisans étaient les bienvenue. De nature intelligente et réfléchit, elle prit cela comme une opportunité en or pour contribuer à l'économie de la cité et pour apprendre le plus qu'elle pouvait en leurs murs.  

Une missive communiqua à l'architecte que Demoiselle Valérius Sévérius serait présente à la septante du soir (19h-19h30) pour la rencontrer.