Très cher Centurion Marcus;

Je vous écris pour vous faire part d'un dossier interne de la charte du Vivant. Nous avons une enquête interne gérer par moi-même, sous la tutelle de Dame Lusciana, au sujet des vivres empoissonnés retrouvés directement dans la cuisine de l'université. Nous vous en faisons part, car l'empoisonneur a refait une "attaque".

Madame Lusciana m'a donc chargé de vous informer de cette enquête en cours, mais en me laissant bien savoir que je devais vous avertir qu'elle gardait le contrôle de cette enquête. J'aimerais donc vous en parler de vive voix si vous avez un moment à m'accorder. Je suis en train de faire des analyses de poison retrouvé a l'université pour pouvoir le comparer avec celui-ci trouver à la béguineuse et à la taverne du quai il y a de cela quelque lune déjà.

Nous devons trouver le coupable, cela dure depuis trop longtemps et met les élèves et le personnel de l'université en danger.

Au plaisir d'avoir de vos nouvelles;
Vive l'empire et la santé!

Professeur Corvalus,
Chère amie,

Il me fera plaisir de vous rencontrer pour en discuter plus longuement. Cependant, je m'avoue décontenancé par cette demande, à laquelle j'entend néanmoins diligemment donner suite en considération de la titraille de demanderesse et du respect qu'elle impose. À quoi l'Architecte s'attend-t-elle de la Légion, plus précisément, si elle souhaite conserver la gestion de l'affaire ?

Si l'Université souhaite conserver la gestion de ce dossier et que c'est simplement de bras hardis pour procéder à une arrestation dont elle a besoin, je vous invite à adresser la chose avec votre bien-aimé, qui en plus d'être lui-même un homme aux faits d'armes incontestable, aura mon appuis inconditionnel si la situation demandait à mobiliser des hommes.

Bien à vous,

Marcus Aelius Septim

Cher Centurion Marcus,

Comme vous l'avez demandé, je ferais affaire avec ma douce moitié pour la suite des choses. J'aimerais tout de même discuter de vive voix avec vous concernant plusieurs dossiers en cours qui pourraient être liés de près ou de loin à cette histoire,

Merci énormément de votre temps, mon très cher ami,
Au plaisir d'avoir de vos nouvelles,

Cher Centurion,

Suite à notre rencontre, je me suis tout de suite affairé à la tâche. J'ai donc joint une copie de l'inventaire de potions que je propose pour faire face à cette guerre qui se prépare tranquillement. C'est un inventaire impressionnant, mais je crois que de telles mesures doivent être prises. J'ai essayé de descendre les coûts le plus possible en ce qui concernait les potions.

Je vais donc me charger personnellement de faire le travail de soufflage de verre nécessaire pour les 540 bouteilles vide dont nous avons besoin. Au marché les bouteilles vides se vendent 5 écus chacune et donc nous économisons 2 700 écu de frais. J'ai aussi évité de charger le prix de l'ail nécéssaire à la légion, car j'en possède une quantité phénoménale dans mon propre inventaire, et donc, j'en fais don à la légion. Ce qui nous fait aussi une économie de 3 000 écus car l'ail se vend 5 écus l'unité au marché.

Pour ce qui reste des autres montants je vous avais parler d'un fournisseur avec des prix plus abordables il s'agit de l'apothicaire de l'hospice, monsieur Laevius. Ses prix sont moins cher que l'alchimiste de la ville, j'ai donc décidé de faire affaire avec lui pour ce qu'il est en mesure de fournir. Il vend les ginsengs et les racines de mandragore à 3 écus chacune au lieu de 5 écus comme le vendeur du marché. Si mes calculs sont bons, nous économisons 2 écus par plante. Un grand total de 8 100 écu d'économie au final.

Pour ce qui est des bloodmoss et des sulfurous ashes je n'ai pas le choix de prendre ce que l'alchimiste du marché m'offre et donc payer 5 écus chaques ingrédients.

Au final, après toutes les économies que j'ai réussies à faire pour la légion, le montant final s'élève à 15 400 écus, contrairement au 29 200 écus que ça aurait pu coûter. Qu'en pensez-vous? Est-ce raisonnable? Si le budget est débloqué, je me mettrai à la confection dans les plus brefs délaies.

Au plaisir d'avoir de vos nouvelles,